In the first Coffee House Controversies talk delivered in French, Dominique Sarny and Peter Dorrington from the
Department of French and the Institut français will consider whether the community’s future depends on
the participation of francophiles, those whose second language is French. Is their integration to be
feared or is it an opportunity to ensure the lasting development of the Fransaskoisie? The talk,
“L’Avenir de la francophonie passe par la francophilie: mythe ou réalité?” will
take place at 7:30 p.m. on Thurs., Mar. 2 at Chapters Bookstore behind the Southland Mall (2625 Gordon Road).
There are 19,000 Saskatchewanians whose mother tongue is French, or less than two per cent of the population.
Despite the admirable efforts of the francophone community, the francophone share of the population continues to
decrease. Furthermore, the community is aging – 54 per cent of Saskatchewan francophones are 50 or older
– and the last two generations of francophones have mostly married non-francophones. When a non-francophone
parent does not speak French, fewer than 33 per cent of the children learn to speak French.
At the same time, a group of potential allies continues to grow: the 30,000 people in Saskatchewan who speak French
as a second language. Is it in the interest of the Fransaskois community to build bridges with these
“francophones” whose mother tongue is English? And by integrating the non-francophone spouse in mixed
couples into francophone culture, could the community significantly increase the number of its allies? Or does it
risk diluting itself to the point of losing its identity in a pool of people twice as large as its own?
Coffee House Controversies is a series of informal lectures on controversial topics, presented by the University of
Regina’s Faculty of Arts. Admission is free and participants are encouraged to ask questions or raise issues
with the speakers or other audience members.
For more information, contact Milagros Charriez at 585-4226.
Les francophiles: voie de l’avenir pour la
communauté fransaskoise?
Dans la première communication de la série
Coffee House Controversies jamais donnée en français, Dominique Sarny et Peter Dorrington du
Département de français et de l’Institut français, vont se pencher sur l’avenir de
la communauté pour déterminer si celui-ci dépend de la participation des francophiles, donc de
ceux dont la deuxième langue est le français. Cette communication, intitulée «
L’avenir de la francophonie passe par la francophilie: mythe ou réalité? », aura lieu
à 19h30, le jeudi 2 mars, à Chapters derrière le Southland Mall (2625, rue Gordon).
En Saskatchewan, il y a en 19 000 personnes pour qui le français est la langue maternelle soit moins de 2
pour cent de la population provinciale. Malgré les efforts admirables de la communauté francophone,
la part francophone de la population ne cesse de diminuer. Il s’agit également d’une
communauté vieillissante: 54 pour cent des francophones de la Saskatchewan ont 50 ans ou plus et, depuis
deux générations, les francophones se marient surtout avec des non francophones. Lorsqu’un
parent non francophone ne parle pas français, moins de 33 pour cent des enfants le parleront.
Parallèlement, un groupe d’alliés potentiels augmente: les 30 000 personnes de la province dont
le français est la deuxième langue. Est-il de l’intérêt de la communauté
fransaskoise de créer des liens avec ces ‘francophones’ dont la langue maternelle est
l’anglais? En intégrant la personne non francophone des couples mixtes dans la communauté
francophone, cette dernière peut-elle augmenter de façon sensible le nombre de ses alliés? Ou
bien risque-t-elle ainsi de se diluer jusqu’à en perdre son identité dans un bassin de
population au moins deux fois plus grand que le sien?
Présentée par la Faculté des arts de l’Université de Regina, Coffee House
Controversies est une série de communications informelles sur des sujets prêtant à
controverse. L’entrée est gratuite et on encourage les participants à poser des questions et
à soulever des problèmes, que ce soit avec les présentateurs ou avec d’autres membres de
l’auditoire.
Pour de plus amples renseignements, veuillez contacter Milagros Charriez au 585-4226.
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